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Dernière mise à jour : 15 avr. 2023

L’intention comme origine de toute existence. L’intention comme impulsion première de la créativité L’intention comme le pilier central autour duquel s'articule chacune de mes aquarelles. L’intention comme essence originelle profonde, à laquelle j’offre une voie d’expression pour qu’elle se mette au monde. L’intention comme moyen d’aller à l’essentiel, et de toucher le cœur de ce qui doit être exprimé.

J’ai pris le temps de regarder les aquarelles que j’ai peintes depuis deux années, et l’intention exprimée à travers elles est limpide, comme une évidence: Elles sont TOUTES imprégnées d'une intention de paix. Parfois s’ajoute une intention d’amour ou de douceur, mais le cœur de chacune de mes aquarelles, le joyau autour duquel ma créativité s’exprime, c’est cette intention brûlante, ce désir profond d’ouvrir en moi un espace de paix. C’est ce qui m’a fait peindre la première fois. Et c’est ce qui me fait peindre encore aujourd’hui. En parallèle de cette intention originelle, qui est l'impulsion première dans mon processus artistique, je remarque deux mouvements complémentaires qui opèrent dans la phase de création d’une aquarelle : L’inspiration et l’expiration. L’inspiration, c’est la partie Invisible du travail de création. Si je devais poser une image sur cette phase, ce serait un recueillement intérieur. Être immobile pendant une durée indéterminée, les paumes tournées vers le ciel, à attendre que des possibles me rencontrent et que des courants de Vie me traversent. L’inspiration, c’est le moment où « j’infuse », où je laisse monter à la surface de mes pensées ce qui demande à émerger. Souvent, ce sont des choses extérieures à moi, qui s'associent ensemble pour former le mouvement créatif: le souvenir d’une conversation, un poème, une photo, un tableau ou juste la nature sous mes yeux. Pendant cette phase, je n’ai pas d’attentes, je ne cherche pas l’efficacité, je suis toute entière réceptive à ce qui est et à ce que je suis en mesure de percevoir. L’état d’Être que je cultive est entièrement contenu dans ce mantra avec lequel je me berce encore et encore : « Je m’ouvre à recevoir ». L’expiration. C’est le mouvement Visible, le moment où je dessine mon croquis et où je sors mes pinceaux. L’expiration, c’est cet instant où, dans un souffle étiré à l’infini, je dépose sur le papier tout ce qui me peuple à cet instant T. Dans cet élan, tous les courants qui m’ont traversée passent par le prisme de ma sensorialité et se matérialisent sur le papier. L’expiration c’est une prière, une méditation, un moment hors du temps où je me préserve de la danse du monde, et où une présence divine et intérieure m’inonde. Inspire - expire, pour moi, la créativité c'est osciller continuellement d'un pôle à l'autre de ce balancier. Depuis que j’ai conscientisé tout ce processus, une sorte de détachement opère en moi, et je réalise de plus en plus que ce que je crée ne m’appartient pas vraiment. C’est un don offert, que j’ai choisi de célébrer et d’honorer à ma manière. Je suis juste une voie d’expression de quelque chose qui me dépasse, qui est nourri, porté et amplifié par la Vie qui me traverse. A cela s’ajoute la certitude que cette source de créativité est intarissable et ses moyens d’expression infinis. Je n’ai pas à m’en faire, les idées sont innombrables, il y en a plus que je n’ai d’espace pour peindre, tant que je respire, ma créativité pourra s’exprimer. Je sais aussi que l’essence d’une aquarelle est toute entière contenue dans ce moment où je peins, comme une prière. La plus belle part de ce que je créée, ce sont ces espace de paix et de douceur que j'ouvre en moi et que j'habite un peu plus à chaque nouvelle illustration , l’aquarelle sur le papier est juste la partie immergée de quelque chose de bien plus vaste. Et pour moi, cette prise de conscience est libératrice. Savoir que rien ne m’appartient, être certaine que ce processus créatif n’a pas de fin, et que l’essence de ce qui m’anime est intangible, c’est l’antidote parfait contre la peur de manquer ou d’être copiée. Pourquoi m’inquiéter de la possibilité qu’on me vole une ressource qui ne sera jamais épuisée ? Pourquoi avoir peur qu'on me recopie le fruit de mon travail, alors que j’ai une infinité de graines d’idées qui attendent leur tour dans mon panier ? Pourquoi avoir peur par anticipation qu’on me prenne mon travail à mon insu, alors que ces aquarelles matérielles ne représentent qu’une partie dérisoire de la créativité qui m’habite ? Ici, je ne dis pas que le plagiat et le détournement d’œuvres sont quelque chose d'éthique et moral. Je dis simplement, que si un jour je suis l’objet d’un plagiat ou de l’appropriation d’une de mes aquarelles (à des fins commerciales ou non), je peux faire le choix de laisser couler et décider que ce n’est pas mon problème. Je peux choisir où je mets mon énergie, ai-je envie de partir en guerre contre une entreprise, une marque, une personne pour obtenir gain de cause ? Ou est-ce que je préfère leur adresser un message pour exprimer mes valeurs d’une manière alignée pour moi et continuer ensuite d’œuvrer au service de ma créativité ? Aujourd’hui, je crois que je suis en paix avec tout cela. Parce que ce que m'apporte à l'intérieur cette expression de ma créativité est si précieux et inestimable que les conséquences possibles dans la matière me paraissent futiles. C'est incroyable tout ce que ce mouvement intentionnel d'inspiration et d'expiration m'apporte en guérison et en paix en dedans. C'est bouleversant à quel point l'aquarelle me fait fleurir d'Amour un peu plus chaque jour. Alors si tu es inspiré.e par mes aquarelles, j’en suis touchée et honorée, et je t’encourage à te nourrir de ce que je crée pour créer à ton tour, avec tes couleurs, ton essence, ta vibration d’amour. Laisse Toi par ricochet, pénétrer par ce courant de Vie qui m’a traversée, accueille le, et vois ce qui émergera à partir de ça ! On a tou.te.s besoin des autres pour être inspiré.e.s, on a tou.te.s besoin de nourriture physique ou spirituelle, de musique, de mouvement, de lecture, sans cela il n’y a pas de création. Je vais finir avec le titre de ma dernière aquarelle : Tou.te.s relié.e.s (en créativité) Plus jamais seul.e.s (dans ce courant de Vie qui nous inspire et nous transforme les un.e.s les autres) Avec Amour Élise



"La naissance d'Éliah est la première graine plantée, celle qui ouvre la voie, et inscrit durablement une forme de radicalité en moi". En relisant ce texte écrit après la naissance d'Éliah, le mot “radicalité” s'est imprimé sur ma rétine. Qu'est ce que j'entendais par là en l'écrivant il y a 4 ans? Qu'est ce que j'en pense maintenant? Alors voilà, dans cette lettre c'est de ça dont je désire parler. De radicalité



Je vais dérouler à partir de la naissance d’Éliah, qui est mon point de départ à moi dans mon approche d’une autre forme de radicalité.

J’ai préparé la naissance d’Éliah en souhaitant de tout mon cœur un accouchement physiologique, le plus naturel possible, et sans intervention extérieure. J’ai choisi une maternité réputée pour son approche physiologique des naissances, je me suis entourée de personnes outillées pour m’accompagner sur ce choix là, j’ai lu beaucoup, beaucoup BEAUCOUP de théorie sur la naissance physiologique, mais aussi sur l’état des lieux du système hospitalier français et sur les violences obstétricales qui l’accompagnent. Ce souhait profond, s’est construit à partir d'un désir que je portais et moi, mais aussi en réaction aux violences obstétricales, en opposition au système hospitalier en place, et en rébellion face au patriarcat. Ma radicalité s’exprimait en réaction à un système extérieur, ma radicalité était une manière de me positionner « en marge de ». Cette rigidité m’a figée dans un terreau de peur, de stress et d’anxiété, ce qui n’était pas l’idéal pour un projet de naissance physiologique. Par glissement, ma radicalité est devenue rigidité, celle qui fige, fixe, immobilise, celle qui fait répondre par automatisme, sans nuances. Deux ans plus tard, pour la naissance de Cléophée, j’ai choisi de lui donner naissance à la maison, de la manière la plus naturelle possible, accompagnée d’une sage-femme. La grande différence, est que cette fois, ce choix je l’ai fait à partir de moi, animée d’un désir profond de me sentir en sécurité et apaisée. La société patriarcale et les violences obstétricales me mettaient toujours en colère, mais elles n’étaient plus au cœur de ce choix. Cette radicalité s’est incarnée depuis mon désir profond d’une naissance douce et libre, et à travers elle j’ai trouvé une assise, un ancrage, un rocher stable et solide sur lequel m’appuyer. Je te laisse deviner laquelle de ces deux naissances à été assistée et non respectée, et laquelle a été pleine de souveraineté et de douceur ♥ En revisitant mon histoire personnelle à travers ces deux naissances, je saisis ce que m’a enseigné la naissance d’Éliah. Il m’a invitée à me relier au sens premier de la radicalité, c’est-à-dire « qui est relatif à la racine, à l’essence d’une chose ». La radicalité comme ce qui permet de se relier au principe premier, fondamental, qui permet de désigner l’essence d’un processus, sa matrice originelle. Par son passage à travers moi, Éliah a comme activé cette connexion vers ce que je suis à l’intérieur, et par ce lien de nouveau possible, ma radicalité a commencé à s’exprimer par rapport à ce qui est juste pour moi dans le présent. C’est depuis mes racines, depuis ce qui est souterrain, profond, originel que progressivement, l’expression de ma radicalité s’est déployée. Aujourd'hui, la radicalité que j’ai envie d’épouser, est celle qui me permet de me relier à mon cœur, à cette essence que j’ai en moi depuis ma naissance. Ma radicalité nait de mes aspirations, mes désirs intimes, mes élans intérieurs, c’est à partir de ces espaces qu’elle s’étend. Ma radicalité implique une écoute absolue de ce qui me traverse, elle rend la demi-mesure difficile à accepter, les compromis compliqués à avaler, elle est mêlée d’une certaine intransigeance pour mon bien être et le respect de mon intégrité physique et mentale. Ma radicalité réside dans le fait d’ôter mes peaux, comme celles d’un oignon, de la plus fine à la plus épaisse, et de ne pas reculer face à cette tâche infinie. Ma radicalité se trouve dans le fait de ne plus m’échapper, de ne plus me raconter d’histoires qui cadrent avec ma réalité, de ne plus m’aveugler mais de tendre vers une expression la plus authentique possible de ce que je suis, quels que soient les changements en moi et autour de moi que cela implique. Cette radicalité est emprunte d’une volonté de rupture avec tout ce que j’ai pu penser comme acquis, évident, normal et que je souhaite reconsidérer aujourd’hui. Ça demande d’enlever mes peaux, unes à unes, avec patience et indulgence. Ça demande de me défaire des conditionnements sociétaux, Ça demande de sortir de mes schémas éducationnels et familiaux, Ça demande de libérer certains héritages, parfois transmis inconsciemment, Ça demande de détricoter ma propre histoire et de mettre en lumière tous les apprentissages tissés au fil de mes expériences. Et en laissant ma radicalité éclore à partir de ce que je suis, de ce que je porte en moi, je m’autorise à la faire évoluer en permanence, à la réajuster constamment, dans une recherche d’équilibre et d’harmonie intérieure. Alors oui, forcément, c’est confrontant. Ça ne veut pas dire que je ne ressens plus de colère ou d’amertume, ni que je suis devenue maître zen. C’est juste que ces émotions intenses qui me traversent souvent, ne sont plus au cœur de mes choix et de mes réactions, qu’elles ne me guident plus aveuglément comme cela a été le cas auparavant. Et ce que je remarque depuis que je prends conscience de cela, c’est que ma radicalité ne me met pas à la marge, bien au contraire. Je remarque que cet état d’Être me relie, me répare, ancre en moi une écoute profonde et un respect total pour mon corps et mon intégrité et harmonise mon lien au Vivant. Depuis que j’essaye d’être radicalement moi, je suis en mesure d’accepter radicalement l’autre. Depuis que je dis souvent “non”, je suis en mesure de prendre en compte les limites des autres et de les honorer. Depuis que je ne me force pas, je sens combien mes liens humains sont plus souples, plus nuancés et moins figés. Je vois comme mes interactions sont apaisées, avec moins d’attentes et de projections. Et je me demande si collectivement, ce serait possible de tendre vers ce même mouvement? De cesser de voir la radicalité comme une lame tranchante qui sépare, mais plutôt comme une palette peuplée de toutes nos nuances avec laquelle composer une œuvre qui nous ressemble et nous rassemble dans le présent ? D'envisager la radicalité comme une voix parmi d'autres pour atteindre la complétude ? Alors je te souhaite d'être radicalement Toi, à chaque seconde, de te réajuster en permanence à tes racines, à ce qui t’anime en dedans, pour t'ancrer en profondeur dans un terreau intérieur stable, harmonieux et soutenant. Je te souhaite de tracer ton chemin unique, libéré.e des conditionnements extérieurs, et d’écouter ta petite voix intérieure. Et j’espère qu’on va être de plus en plus nombreu.x.ses à enlacer cette forme de radicalité A l’exprimer depuis son endroit à soi, sans chercher à rallier ni à imiter, Simplement laisser danser sa propre radicalité Sans l’éteindre ni chercher à la cacher L’embrasser et la laisser révéler Ce qui demande à être exprimé Avec Amour Élise

Dernière mise à jour : 9 mars 2023

Ola à Toi, Et bienvenue dans ce que j'appelle mes "pensées sauvages". Ici je te partage les réflexions qui me traversent autour de mon déploiement en tant qu'artiste, et des choix que je fais, pour rester alignée avec ce qui sonne juste pour moi à chaque instant. Tu me verras sans doute changer d'avis, revenir sur ce que j'ai pu écrire, parce que ma Vérité est immuable, et ce qui est Vrai pour moi aujourd'hui, ne le sera peut être déjà plus demain. Il en est de même pour la façon dont tu recevras cela, peut être qu'aujourd'hui tu seras en désaccord avec ce que je partage, et peut être plus tard cela résonnera parfaitement en Toi? Dans tous les cas, je t'invite vraiment à prendre ce qui te parle et à laisser le reste, et à ne surtout pas donner une importance disproportionnée à mes position, il s'agit juste de mon chemin, qui est ce qu'il est, le tien est tout aussi parfait et juste. ♥



Aujourd'hui, je voudrais te parler de partager ou non des témoignages de client.e.s pour communiquer sur son entreprise.

Tu l'as peut être remarqué, je ne partage jamais de témoignages de personnes pour qui j’ai peint. Je ne fais jamais de post ou de stories avec des retours clients, je ne publie pas de messages privés adorables déposés par des clientes dans ma messagerie. Et je ressens le besoin de m’exprimer plus en détails à ce sujet, ici, dans cet espace plus personnel.

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Je me suis plusieurs fois posé la question de partager ou non des retours de clientes, et à chaque fois je sentais comme un inconfort, un impression que cela ne sonnait pas juste pour Moi… Aujourd'hui je prends le temps de mettre mes pensées au clair et de mettre des mots sur ce sujet qui m'a beaucoup questionnée, merci à Toi de me suivre dans cette déambulation intérieure! :) J’ai la sensation que dans nos sociétés modernes, c’est de plus en plus complexe de sentir ce qui est bon pour soi. Et pour moi, les témoignages, les avis déposés en nombre infinis sur des pages web, nous dépossèdent un peu plus de ce savoir, de cette faculté à sentir avec son ventre, son cœur, son âme, ce qui répond à un appel de l’intérieur… Quand je désire acheter une œuvre, un service ou un objet, ce ne sont pas les témoignages d’autres client.e.s inconnu.e.s qui peuvent me dire si ce produit est bon pour moi. Je n’ai pas accès à l’expérience de ces personnes, ni à leur grille de lecture du monde, pour moi c’est presque absurde de m’imaginer que l’expérience d’un.e autre client.e puisse avoir une prise sur ma décision finale. Et c’est ce que j’ai envie d’inviter chez mes client.e.s, je souhaite que l’envie de travailler avec moi, vienne d’un désir déjà présent en soi, et que cette étincelle ne soit pas allumée par un évènement extérieur. Je sens très fort que je ne peux pas provoquer ni entrainer le petit pas en avant qui permet à une personne de me contacter pour réaliser une aquarelle. J’ai besoin que ce petit pas se fasse dans la lenteur et le respect du rythme de chacun.e, et je ne veux surtout pas accélérer cette temporalité en partageant des avis exaltés de personnes ayant déjà travaillé avec moi J’ai aussi l’impression que ces témoignages souvent enthousiastes, induisent une attente, une envie de résultat, une projection sur les bénéfices du service proposé. Alors que dans la Vie, il n’y a jamais de garantie. Chacune de mes aquarelles est unique, et je ne peux absolument pas te dire de quelle manière tu seras nourri.e par son énergie, une fois qu’elle sera entre tes mains. Peut-être que ce sera magnifique et transcendant, peut être que ce sera progressif, tu te l’approprieras au fil du temps, peut être que tu n’aimeras pas finalement… Il est possible que je serve 10 personnes d’une manière absolument fantastique, et que ce ne soit pas le cas pour Toi, c’est une possibilité qui existe et c’est important de se le rappeler. Alors je ne veux pas te dire à quel point je suis merveilleuse, ni à quel point les échanges avec mes clientes sont souvent lumineux et emplis d’amour. En fait, le seul paramètre sur lequel j’ai une prise c’est la manière dont je m’engage avec Toi dans un projet. C’est important pour moi, de te dire que de mon côté j'accorde une importance primordiale à me sonder intérieurement, pour sentir si je suis la bonne personne pour Toi. Le seul endroit où j’ai de la responsabilité et une prise sur les commandes que je réalise, c’est ce moment où je dis OUI (ou NON). Aujourd'hui, c’est là seule chose que je peux te garantir, l’importance de mon côté, que mon OUI ou mon NON soit sacré et conscient. Quand je dis OUI, pour peindre pour Toi, Je dis OUI à nos sensibilités qui se relient, Je dis OUI à tes attentes et tes besoins que je pense pouvoir honorer, Je dis OUI à mon espace intérieur à cet instant, et à la présence que je peux t’offrir Je dis OUI à ta temporalité qui est compatible avec la mienne, Je dis OUI à ma nature sauvage, qui à besoin de liberté, de lenteur et de paix intérieure pour peindre Je dis OUI à mon besoin de me sentir vue, reconnue, choisie, célébrée pour ce que je sais le mieux faire Quand je dis NON pour peindre avec Toi, Je dis non à l'idée de créer quelque chose qui ne te corresponde pas Je dis non à mon conditionnement qui voudrait que je me force un peu et fasse un effort alors que mon coeur sait que je ne suis pas en mesure de bien te servir. Je dis non au fait de te considérer comme un porte monnaie sur patte, qui va me donner de l'argent même si ce que je crée n'est pas exactement ce que tu désires. Je dis non l'injonction de répondre aux besoins des autres, tout le temps, tout de suite même lorsque je ne m'en sens pas capable. Cette manière d'offrir mon “Oui” ou mon "Non", c'est la seule chose que je suis en mesure de te promettre et que j'ai profondément envie que tu saches, et ça ne passe pas par des témoignages extérieurs, mais par la clarté intérieure, qui a pu émerger ici en déroulant le fil de mes pensées. Merci de m'avoir lue jusqu'au bout Je te souhaite une chal-heureuse journée ou soirée Élise

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